CR CA du 20 Février 2015
Notes CA du 19 Février 2015
- Infos du président
- Approbation du PV du CA du 12 Décembre 2014
- Accord sur l’affectation foncière relative à l’implantation d’un spectromètre à RMN 1200 Hz.
Sans précision sur date et surface, accord de principe.
Unanimité pour
- Orientations stratégiques de l’Université de Lille :
Présentation et échange :
P Rollet. Un document de projet nourri des groupes de travail...
C Vuylsteker (FSU-CGT) : comment peut on réagir à cet écrit ? Dépôt de contribution sur l’intranet ? Ce document sera-t-il accessible à tous les personnels ? Et les contributions aussi ?
Rép : oui, mais la forme de contribution sur un site ne fonctionne pas toujours bien.
JF Pauwels sur la recherche.
C Vuylsteker (FSU-CGT) : On baigne dans « l’excellence » et « l’attractivité » du fait de la liaison IDEX et U de Lille, quitte à lui accoler les termes curieux et antagonistes « équitable » et « partagée » ! Règle de répartition des crédits aux laboratoire sur la base de leur niveau d’excellence. Logique bibliométrique, parcours d’excellence master-doctorat (étudiants à deux vitesses). Ce n’est pas l’harmonisation par le haut que nous revendiquons. Nous pensons qu’il y aura pas mal de personnels et étudiants qui ne se retrouveront pas dans ce projet.
I Sharour (Ambition) : on devrait identifier les grands défis et ensuite préciser comment on y répond. Le CA n’a pas à rentrer dans le détail, mais dans les axes stratégiques.
S Tison (DPE) : m’y reconnaît sur les axes, mais surprise d’apprendre que des éléments sont déjà en place sans en être informé. Le diable se cache parfois dans les détails.
A Linkenheld (LMCU) : vous parlez beaucoup d’international, mais l’Europe est noyé dedans.
J M Nicolas (CGT-FSU) : les grands équipements, est évoqué le cadre national mais comment ces grands équipements vont-elles se rattachés dans ces IDEX et compétition entre établissements , un grand équipement devenant un argument pour entrer dans la compétition des réponses à appels à projet. Rappel : le combat contre les chaires d’excellence qui mettent à mal les statuts d’EC et Chercheurs. On les voit revenir ici. Nous aurons une contribution collective en tant que liste ou organisation syndicale.
C Beaucourt (Construire Ensemble) : on ne peut pas s’opposer à ces objectifs mais le sens des mots. Cela veut dire quoi une recherche d’excellence. On parle d’unification mais la recherche est aussi une diversité. Le pilotage, il y a les indicateurs de fonctionnement qui peuvent être intéressants.
B Desprez (Chef d’entreprise) : en terme de recherche, pas seulement une question de publications, il faut aussi des indicateurs de fonctionnement, les relations avec les entreprises, la culture de l’innovation. Ce document cherche à définir des points de convergence entre les trois universités. La multiplicité des systèmes incubateurs, etc..., Comment gérer ? Quelle stratégie ?
V Cocquempot (Construire ensemble) : ai du mal à sentir la plus-value de la fusion. Par exemple sur la recherche, on ne voit pas ce qui fait un bond en avant. N’y aurait-il pas des choses nouvelles à développer.
P Rollet : L’enjeu, c’est de faire une université de Lille reconnue. Il n’y aura que quelques universités reconnues. Pour aborder un certain nombre de missions, le chemin est déjà dessiné. Pour la recherche, on a un certain nombre de domaines points forts ou en émergence.
I Sharour : un défi financier, patrimonial. On est dans un monde qui change à une vitesse extraordinaire. Comment s’y adapter ? Devancer ?
S Maouche : sur la formation.
M Leduc (Ext) : ne trouve pas le lien entre formation et l’environnement socio-économique.
C Beaucourt : on ne peut pas être hors du marché de l’emploi. Il faut le mettre en évidence.Instance partenariale avec le monde économique, une co-construction. Le mot cytoyenneté manque. On ne trouve toujours pas les indicateurs de fonctionnement.
B Desprez : les pôles de compétitivité ont des possibilités de labelliser des formations. Une opportunité de transversalité. La rémunération des stagiaires, un problème pour l’université, mais un problème sain.
I Shahrour : un rôle d’impulsion et non seulement d’intégration de l’université pour l’environnement.
JM Nicolas : les aspects positifs : langues, international, trouver un travail après les formations. On parlera par la suite de la convention U de Lille et Ecoles. Dans quelle mesure les initiatives historiques des Ecoles d’ingénieurs, leurs liens avec les entreprises pourront profiter aux universités lilloises. L’exigence a plus de contenu que l’excellence qui ne se décline qu’en classement. Un mot absent : l’émancipation des citoyens à venir.
S Tison : trouve aussi que l’on devrait davantage développer des masters avec les Ecoles.
NE Bourzgui (Construire Ensemble) : ne pas formater les formations en fonction de l’entreprise, une formation plus ouverte permettant l’évolution de nos diplômés.
C Vuylsteker (FSU-CGT) : ce qui manque, qualité de vie, conditions de travail, des points positifs pour les étudiants, pas grand chose sur les personnels. On n’y voit que l’aspect management avec des primes d’intéressement. Les conditions de travail, c’était déjà ce qui manquait lors des débats sur la fédération U de Lille antérieure. Un élément majeur dans un projet de fusion.
B Desprez : insuffisance sur la question de l’hygiène et sécurité.
C Beaucourt : Que les systèmes d’information RH gérant les personnes posent problème. Eviter que les débats partent des DGS. Les outils sont au service d’une politique et pas l’inverse.
- Information sur la mise en place des groupes politiques :
Choix de la présidence de retenir parfois plus de 2 E et EC. le document
C Vuylsteker (FSU-CGT) : critique le fait que l’on a laissé de côté les biatss dans cet appel à candidature. Ils n’apparaissent qu’en tant de chefs de service ou de personnes es qualité. Les GT sur le projet antérieur U de Lille fédérative contenaient une représentation des tous les catégories de personnels. C’est anormal de considérer que seuls les E et EC peuvent débattre de politique.
- Délibérations :
statuts Service Commun de Formation Continue
Après passage en commission des statuts et Comité Technique.
Version avant les corrections en CT
Quelques corrections de plus :
Adopté par 21 voix pour.
- modification des statuts de l’IAE
le document adopté en CT à l’unanimité
C Beaucourt : lit une lettre des membres élus du collège B de l’IAE, manque de représentativité 4 PR, 3 MCF pour 57 membres, 2 élus biatss pour une centaine de personnels biatss. Lorsqu’il siège en restreint, la parité collège A et collège B n’est pas assurée. Un siège de collège chargé d’enseignement vacant. Nous avons demandé de porté à 4 le nombre de siège de collège B et 3 pour le biatss. Vote en CA de l’IAE. La solution serait de mettre 4 rang B et retirer le collège chargé d’enseignement.
X Furon : le conseil d’IAE doit faire la proposition, le CA ne peut qu’émettre un avis favorable ou défavorable sur une proposition émanant du conseil de l’IAE.
P Rollet demandera au directeur de l’IAE de revoir la copie sur le collège B.
X Furon : il est légal de mettre un collège chargé d’enseignement dès lors que ce collège atteint 10%. Le problème est qu’il aurait fallu renouveler le siège vacant.
Débat sur l’opportunité d’adopter les deux modifications actuelles ou rejeter l’ensemble.
C Beaucourt : Construire Ensemble voteront contre.
I Shahrour (Ambition) : Ambtion s’abstiendra.
FSU et CGT : Tout en comprenant le problème posé en collège B, voteront « pour » car les deux points de modification proposés ce jour n’ont pas été critiqués. Il ne faudrait pas empêcher que la représentation des biatss ne soit pas améliorée.
Modifications des statuts adoptées par 8 pour (Président, FSU, CGT, SUD-étudiant (procuration à la FSU, SNPTES, Elu étudiant Ale), 5 contre (Construire Ensemble), 8 abstentions, 1 NPPV.
- modalités d’attribution de la PEDR
N Postel, le document
C Vuylsteker (FSU-CGT) rappelle que FSU et CGT avaient défendu un taux unique en 2010 sans succès à l’époque car trop novateur. Sur l’harmonisation au sein des universités lilloises, il faut remarquer que Lille 2 n’a pas choisi le CNU comme instance d’évaluation des dossiers. Lille 1 a choisi les instances nationales, a doté les classés « A » et les « B », ce taux unique va va dans le bon sens.
Adopté par unanimité moins 1 NPPV (SNPTES).
- convention de partenariat Université de Lille / Ecoles associées
JC Camart : essentiellement orienté vers la recherche.
C Vuylsteker (FSU-CGT) : ne comprend pas cette convention dès lors que le choix est une fusion des trois universités lilloises et plus une fédération comprenant les 6 Ecoles. On parle de relation bilatérale ne nécessitant pas cette convention. En art 5), on parle de décisions prises par les établissements dans un directoire qui n’est qu’une structure d’une association U de Lille. On les invite au comité stratégique avec droit de vote sur le projet de fusion alors qu’elles ne sont pas impliquées. On créé un sous groupe au sein de la COMUE. Précise que la FSU votera contre.
P Rollet : on constitue un ensemble nécessitant une convention pour rendre crédible.
I Shahrour : un pas en avant, les laboratoires communs avec les autres universités, l’exclusivité pose problème.
JM Nicolas (CGT-FSU) : on reproche que les Ecoles sont toujours tenus à l’écart des réformes universitaires veillant à maintenir un enseignement supérieur à deux vitesses. Le terme d’optimisation des ressources, développer l’entreprenariat étudiant... On lit développer la mobilité des personnels, pourquoi pas un portail national. Le but est d’inscrire un label U de Lille pour une démarche IDEX.
C Beaucourt : une question de forme. La part belle à la recherche, manque le volet étudiant.
C Vuylsteker : la coordination entre établissements de l’ESR, c’était pour moi une mission de la COMUE. Là on créé une relation exclusive ? Comment se projet a été reçu au sein du CA de la COMUE s’il a été examiné par le CA de la COMUE ? Les ED sont de la compétence de la COMUE, on parle de doctorat de l’université de Lille.
Adopté par 15 Pour, 6 contre (FSU-CGT, Sud-étudiants, SNPTES).
- convention de partenariat avec railénium
M Lecoutre. Principe de l’estimation de mise à disposition ? La situation budgétaire des établissements impose de revoir le modèle et les engagements.
C Vuylsteker : rappelle que le Snesup avait voté contre les statuts à l’époque exposés par le VP I Shahrour : minoration des académiques dans le CA, mise à disposition de personnels (on vend des bras et des cerveaux) dans une structure de droit privé, pb de propriété intellectuelle et viabilité financière douteuse. Lien notes du CA sur la délibération sur les statuts de l’IRT Railénium. La lecture confirme ces inquiétudes. Cela repose sur la mise à disposition des personnels volontaires mais l’on lit à longueur de page, l’exhortation à dénicher des personnels à mettre à disposition. Le volontariat pèsera-t-il encore si l’économie du système impose de mettre à disposition faute de quoi il faut compenser.
Peut-on avoir des infos sur les chiffres d’affaire ? Nous sommes actionnaires, nous avons un représentant au sein de son CA, quelle nouvelle ?
P Rollet : l’apport initial de l’établissement. On préférerait que l’état prenne en charge. Rialénium se monte, on n’a pas encore énormément de projets qui émergent.
M Lecoutre : Lille 1 : deux thèses financés, pas encore de mise à disposition, on n’a identifié que deux personnes volontaires.
P Rollet : une montée en puissance, peut-on être à l’écart ? On est présent parce que l’on pense que l’on peut attendre du positif.
I Shahrour : il y a des opportunités pour les chercheurs, des projets en gestation. Sur la partie formation, les Ecoles sont mieux structurées. Ne pas négliger ce volet.
Adopté par 15 pour et 6 contre (FSU-CGT, SNPTES, SUD étudiants).
fr Vie des conseils Conseil d’Administration Compte-rendus de nos élus ?