Notes du CA du 27 Mai 2016
M-H. Foubet (extérieur MEDEF) préside, doyenne d’âge parmi les membres du Conseil d’Administration non-candidats.
Lecture de l’arrêté précisant les modalités de l’élection.
Tirage au sort des passages des candidats.
Charles Suquet élu collège A sur les listes Alternative CGT et FSU :
Mesdames et messieurs les conseillers, au vu de la composition de ce CA telle qu’elle est issue des urnes et de la nomination des membres extérieurs, je peux vous rassurer tout de suite : je ne serai pas le futur président de cette université. Alors pourquoi candidater ?
Parce que même dans ce CA LRU, il faut bien porter la parole de ceux qui ne se résignent pas à la disparition programmée d’un grand service public laïc et émancipateur de l’enseignement supérieur et de la recherche. Si vous n’avez pas pris le temps de lire mon programme,vous trouverez sans doute dans mon discours quelques raisons de ne pas voter pour moi.
En voici une première. Ma candidature n’est pas celle d’un individu isolé. Elle est portée par les listes Alternative CGT et FSU. Cette alternative n’est pas une alliance de circonstance pour récolter quelques sièges dans les conseils. Ces listes sont issues d’une dizaine d’années de convergence dans l’action sur les questions sociales et universitaires. Nous sommes de ceux qui prennent régulièrement la France en otage, comme ces grévistes de 1936 à qui nous devons les congés pays. Je voudrais en profiter pour saluer les étudiants qui se sont mobilisés contre la loi travail, eux ont bien compris ce qui était important. Et je ne suis pas hors sujet ici puisqu’il s’agit directement de l’avenir de la jeunesse et des futures conditions de travail de nos étudiants. Et quand je dis futures je suis déjà trop optimiste car nombre d’entre eux sont déjà confrontés à la précarité.
Dans les projets de mes concurrents, on insiste beaucoup sur les atouts de l’université de Lille et ses magnifiques perspectives d’avenir mesurées sur l’échelle du sacro-saint classement de Shangai. En attendant, personnels et usagers sont confrontés au quotidien à la triste réalité :
31 bâtiments avec un avis défavorable de la commission municipale de sécurité,
gel de postes vacants, augmentation de la précarité,
réduction du volume horaire des formations,
réduction drastique du nombre d’ATER, etc.
Les collègues en sont bien conscients. Pour rappel nous avons recueilli en 2 semaines fin décembre 830 signatures sur la pétition intersyndicale pour demander au gouvernement des moyens à la hauteur des besoins. On nous objecte qu’on est dans un contexte contraint et qu’il faut prendre des décisions courageuses en attendant le bout du tunnel où pointe le radieux avenir de l’Idex.
Mais est-ce seulement du désengagement de l’Etat dont il s’agit ? Il y a aussi des responsabilités locales.
Pour faire face à la pénurie de moyens pour le service public, il y a essentiellement deux lignes.
Soit on s’inscrit dans la course à l’excellence en espérant d’accrocher des financements que les autres n’auront pas (financements de toutes façons insuffisants pour répondre aux besoins). Cela suppose de ne pas faire de vague et de faire sans cesse allégeance aux dogmes du néo-libéralisme ambiant.
Soit on met l’Etat devant ses responsabilités en portant clairement et publiquement nos revendications et en construisant collectivement un rapport de force qui seul permettra d’obtenir les moyens nécessaires au service public partout et pour tous.
Chacune de ces deux lignes conditionne directement la vision que l’on a de la démocratie universitaire et du service public.
Pour l’illustrer je reviens sur trois exemples dans le bilan de l’équipe sortante.
Exemple 1,
Sur IDEX 1 et IDEX 2, jamais les élus (ni a fortiori les personnels)n’ont vu les dossiers avant qu’ils ne soient remontés au ministère. On nous objectera qu’il ne fallait pas donner des armes à nos concurrents des autres universités candidates. En est-on vraiment là dans le service public ? Quelle honte ! Les collègues savent-ils que les universités candidates se sont engagées à affecter au moins 80% des 200 postes d’E-C vacants sur 5 ans dans le périmêtre d’excellence qui ne recouvre qu’une partie minoritaire des laboratoires associés (34% selon le consortium) ? Après cela, on peut faire notre deuil de la biodiversité de la recherche !
Exemple 2,
L’université a délégué à une société de droit privé la SATT, la gestion exclusive de la valorisation de nos résultats de recherche. Pourtant nous disposons pour cela d’un service de l’université le SAIC. A titre de comparaison, sur les dividendes des brevet 70% vont à la SATT et 30% à l’Université. Avec le SAIC 10% au SAIC et 90% à l’université. Cette exclusivité accordée à la SATT s’est révèlée un obstacle empêchant la réponse aux appels à projets européens H2020. Il a fallu plus de 6 mois pour se tirer partiellement de ce mauvais pas.
Exemple 3 la Catho.
A l’occasion de l’adoption des statuts de la COMUE Lille Nord de France, le CA de Lille 1 accordé à La Catho le statut d’établissement membre de la COMUE, à égalité de droits avec les établissements publics, dans une structure de statut public ! Ainsi La Catho pourra participer à la prise de décisions s’imposant à l’ESR public en région, décision qu’elle même ne sera pas tenue d’appliquer. Jusque là, La Catho, établissement privé confessionnel, n’était que membre associé du PRES.
C’est la réponse à l’appel d’offre IDEX et la volonté de plaire aux barons régionaux et au ministère qui ont déterminé une telle atteinte au service public d’ESR. Au C.A. de Lille 1, seuls les élus des listes syndicales ont voté contre.
Notre opposition à la course à l’excellence ne signifie pas que nous soyions partisans de la médiocrité. A l’excellence individualiste nous opposons l’exigence collective. L’exigence, c’est permettre à chacun de réaliser tout son potentiel, au bénéfice du collectif.
Pour nous l’exigence c’est
une réelle démocratie universitaire ;
le retour au sens du métier de chacun ;
l’accés pour tous à une recherche et une formation de qualité ;
la dignité et le respect des personnels, de leurs qualifications et de leurs conditions de travail.
Vous pouvez compter sur nous pour animer la vie des conseils centraux. Nous proposerons inlassablement de mettre l’Etat devant ses responsabilités pour obtenir le smoyens nécessaires. Après chacun prendra les siennes. Nous continuerons d’informer régulièrement et de consulter les collègues sur tout ce qui se débat en CA.
Les insuffisances de financement par l’Etat ne nous dispensent pas de la nécessité de dépenser judicieusement l’argent public. Il y a encore des sources de gaspillage à tarir et il faut encourager et développer le civisme dans l’utilisation des moyens. Nous exercerons pleinement notre devoir de vigilance quant aux dépenses de l’université.
Nous continuerons de proposer de lutter contre la précarité en utilisant tout le plafond d’emplois (on est à environ -120 emplois aujourd’hui) et en appliquant strictement les règles de la Fonction Publique pour l’embauche de vacataires.
Nous défendrons pour tous les enseignants-chercheurs un droit effectif à la recherche (financement d’au moins une participation annuelle à un congrés).
Nous revendiquons des conditions de travail correctes pour tous les services administratifs et techniques : examens, inscriptions, secrétariats pédagogiques, TP, etc.
Il n’y a pas de fatalité et la résignation ne fait pas partie de notre vocabulaire.
Questions au candidat :
C. Vuylsteker (Alternative CGT et FSU) : Les deux programmes concurrents mettent en avant l’Université de Lille, dans l’exposé, il n’en a pas été question. Quelle est ta position sur cette question ?
Réponse : On a fait campagne en promettant un référendum sur la fusion. On a perdu les élections. Il n’est donc pas question à ce jour d’organiser un référendum. Cependant, si des difficultés apparaissaient en cours de construction, un président ne devrait pas négliger l’usage d’un référendum pour asseoir une décision.
M. Benchiboun (ASUR) : Une université de Lille bâtie sur l’adhésion. Penses-tu que l’université de Lille peut nous apporter les éléments que tu défends : résorption de la précarité, démocratie... ?
Réponse : On est pas forcément au mieux sur Lille 1 sur ces questions. A Lille 2, dans un Comité de sélection, j’ai dû me battre pour obtenir deux réunions ! Aucun texte ne peut nous garantir d’une harmonisation vers le haut !
A. Linkenheld (MEL) : vous avez explicité les raisons de déposer votre candidature. Si vous étiez élu, comment feriez-vous avec un Conseil d’Administration dans lequel vous n’êtes pas majoritaire ?
Réponse : Cela me poserait un problème personnel, mais cela poserait un problème aux autres élus qui le sont sur des programmes présidentiels différents. Il faudrait une clarification de la part de ces élus. Il me paraît très sain qu’ils en réfèrent à leurs électeurs. Pourquoi pas alors une démission de ces élus du Conseil d’Administration ? Sinon, en cas de mon élection, il faudrait voir comment construire une équipe mais cela serait sur la base de mon programme.
M. Benchiboun (ASUR) : Etant donnée ta comparaison SAIC-SATT, pourquoi l’université fait le choix de la SATT ?
Réponse : Je n’étais pas membre du CA précédent, je fais partie d’une organisation syndicale qui a toujours été opposée aux SATT.
- Isam Shahrour, élu collège A sur les listes ASUR.
Des éléments de son intervention :
C’est un immense plaisir de présenter ma candidature, le fruit d’un engagement personnel et collectif. Construire une grande université, élément majeur de développement éco et sociale du territoire. Mon parcours : passion pour la science et la technologie. L’humain. La mobilité volontaire et non volontaire. Un poste à l’université, une véritable chance ! 32 ans à l’université, même en tant que VP, j’ai exercé un service d’enseignement complet. Séjours assez longs à l’étranger. Economie de la connaissance. Place importante de l’université. Tensions dans le monde. L’université porteuse des valeurs humaines.
Le projet pour l’université. L’Etat des lieux : baisse des subventions publiques, déficit, gel des emplois, baisse du fonds de roulement. IDEX : un échec avec une note sévère d’un jury international. Allons nous jouer en deuxième division ? J’ai connu une position nationale importante de Lille 1 avec axe Grenoble-Strasbourg-Lille avec de la coopération.
Une grande ambition. Une grande université : moyens aux laboratoires, gestion des ressources humaines. Pour cela nous avons besoin de cette analyse. Si nous considérons que tout va bien, nous n’avancerons pas.
Il faut rassembler. Nous sommes aujourd’hui en trois groupes.
Deux priorités : Université de lille, y aller sans aucune hésitation. Mais pour réussir, il faut que les personnels y adhèrent. Un travail important et prioritaire. Et IDEX : mobiliser les efforts. Si échec, nous serons relégué en deuxième division. Je me présente avec une équipe expérimentée.
Questions au candidat :
C. Vuylsteker (Alternative CGT et FSU) : Depuis deux contrats, on met en avant les relations avec l’Europe du Nord-Ouest en matière d’échanges d’étudiants. Quid des échanges historiques avec le sud. Quel est ton sentiment ? Ton projet en la matière ?
Réponse : il y avait un axe de solidarité internationale avec le sud quand je suis arrivé. Il y a eu un changement au cours du dernier mandat. Le sud, c’est le lieu d’expansion aussi en matière d’économie. Il ne faut pas d’exclusivité dans les échanges.
A. Benichou (UNEF) : vous insistez sur la recherche, mais quid de l’échec en licence et du nombre d’étudiants ?
Réponse : Notre équipe est aussi très fortement impliqué dans la formation. Echec en licence : travailler sur l’accueil et l’accompagnement en L1. Il y a eu des moyens sur Lille 1. On a besoin d’un bilan : ce qui a marché, ce qui n’a pas marché.
C. Vuylsteker (Alternative CGT et FSU) : j’entends deux priorités IDEX et U de Lille. Pendant la campagne, nous avons eu du mal pour distinguer entre ASUR et CAPU. A l’inverse de nos listes qui ont dénoncé les logiques de l’IDEX. Tu parles de rassembler mais pourquoi pas avant l’élection ? Et maintenant, accepterais-tu un poste dans une présidence de JC Camart ou inversement si tu étais élu président, proposerais-tu une entrée à JC Camart ?
Réponse : au début de la campagne, j’ai cherché à rassembler. Je n’ai pas été entendu. Accepterais-je ou pas un poste de responsabilité ? Je ne suis pas seul à décider. Il faudrait en discuter. Je regrette que l’on ne laisse pas du temps entre l’élection du président et l’élection des Vice-présidences, laisser du temps pour composer une véritable équipe. Sur la comparaison entre CAPU et ASUR, la différence est dans le bilan qui est fait de la situation, l’analyse de site n’était pas partagé.
Jean-Christophe Camart.
Des éléments de son discours :
Dans un contexte décisif, la construction de l’université de lille. J’ai décidé de présenter ma candidature dans la continuité de P. Rollet. Un collectif très large. Nos listes CAPU-Lille sont arrivées en tête avec une avance historique. Listes inter-asso aussi en tête dans les autres universités. J’y vois l’adhésion au projet U de Lille. Volonté d’union. Mon équipe : diversité. Des femmes et des hommes expérimentés et reconnus. Valeurs : service public, éthique et efficacité. Ma volonté d’ouverture. Recherche : mon expérience à l’IEMN. Une grandes université de Lille, une locomotive pour porter l’IDEX. Qualifié dans la sélection finale. Nous seront lauréat IDEX en Fev 2017. Construire de grandes facultés. Fier de notre université, du succès de tous ses acteurs... Dans le top 10 des H2020 ! Haut niveau national de réussite en licence. Des masters reconnus, des pépites.
Rapport AERES. Obtention du plan campus... Mais il faut rouvrir la possibilité de mobilité ascendante, avancer sur le régime indemnitaire, rappeler la création de 160 emplois...
Ecoûte, accompagner... Volet spécifique qualité de vie au travail dans le contrat.
Grand programme des petits travaux a été conçu.
Accompagner les projets qui se construisent dans les laboratoires. Aider la mise en place du FTLV.
Une université ouverte. Des projets sur un campus revitalisé. Ici, chez nous s’invente le programme de demain. Amplifier la logique PACTE dans le cadre de la TRI. Dispositifs d’accueil de tous. Politique culturelle. Accélerer la dynamique en cours !
Questions au candidat :
C. Vuylsteker (Alternative CGT et FSU) : Alain Rives présent dans ton équipe s’est plusieurs fois exprimé publiquement en Conseil d’Administration en faveur de la modulation des services des Enseignants-chercheurs. Il est prévu aux finances, on connaît le lien étroit entre finances et modulation. Il s’agit de cantonner certains à l’enseignement et d’autres, allégés de l’enseignement à la recherche. Une optimisation de la masse salariale. Quelle est ta position sur cette question de la modulation des services ? Quelle est celle de ton équipe ? Un rapport de l’IGAENR de septembre 2015 sur les enseignants-chercheurs préconise l’évaluation récurrente et la modulation des services. Il me semble que tu as été entendu par les rédacteurs de ce rapports.
Réponse : Je suis, à titre personnel, opposé à la modulation de service. La position d’Alain Rives n’est pas portée par l’équipe actuelle.
M. Benchiboun (ASUR) : Tout le monde parle de l’échec de l’IDEX et non de la qualification. Pourquoi avons-nous échoué ? Ne pas faire l’analyse, c’est risqué de reproduire les mêmes erreurs !
Réponse : les deux universités qui ont échoué n’avaient pas de projet de fusion. Il faut construire la faculté de sciences d’ici 2017. On a mal écrit l’histoire. Ailleurs, c’est la COMUE qui portait l’IDEX. Ici, c’est U de Lille. Il faut trouver l’outil pour passer la barre. On va régler l’irréversibilité du processus de fusion d’ici fin 2016. Je suis résolument optimiste. Un comité de pilotage s’organise.
E.Ghamlouch (élue étudiante sur liste Communauté de l’ASSO) : REFLEEX pour tous ! Regrette l’exclusivité de ces projets campus. L’état des résidences universitaires est lamentable . N’ai rien entendu sur le secteur SHS depuis le début du débat. Quelle sera sa place ?
Mobilisation contre la loi Travail, nous sommes la dernière fac mobilisée. Il en foisonne des idées au M1 occupé. Dialoguer avec une jeunesse avec un capital culturel important mais exclus de la société.
Réponse : le logement, on rêve de REFLEEX partout. Rappelle la vocation internationale de la résidence. Sur l’habitat et la restauration, mon programme sur un campus durable.
Sur les SHS, j’ai parlé de la faculté des sciences et tech, car on ne peut rien faire avant la fusion sur les autres secteurs. Une grande école de management public, cela aurait de l’allure !
M. Ekani (Elu étudiant liste Avenir) : vous parlez d’une grande réussite pourtant, dans le concret, qu’est ce qui a été fait par votre équipe pour les étudiants sortant de M1 devant chercher des M2 ailleurs. Pb des étudiants sans inscription ne pouvant ne pas rester sur le territoire ?
Réponse : le taux de réussite en licence L1 est au-dessus de la moyenne nationale dans un contexte difficile régionale. Trouve stupide de sélectionner entre M1 et M2, il faut sélectionner en entrée de M1 !
M. Benchiboun (ASUR) : comment retrouver notre place dans la construction de l’université de lille. Les sauvadet réduit la précarité mais réduit les perspectives d’avancement des biatss plus le gel. Les COM sont des contrats de moyens pour réduire les dépenses et pas un contrat d’objectifs et de moyens.
A. Benichou (UNEF) : quelle alternative si nous n’avons pas d’IDEX ? Etes-vous prêt à entreprendre un bras de fer avec l’état ?
Réponse : IDEX ou non, on va à la fusion. On perdrait en lisibilité si nous le faisions pas.
J-C. Camart est élu au premier tour par 22 voix, I. Shahour : 8 voix et C. Suquet : 4 voix..
Les Vices-Présidences :
C Suquet (Alternative CGT et FSU) : D. Derozier restera-t-il directeur d’UFR de physique ?
Réponse du président JC Camart : ne suis pas favorable au cumul des mandats mais laissons un peu de temps... Les membres de l’équipe quitteront leurs fonctions d’ici la fin d’année.
N. Lebas (Conseil Régional) part et donne procuration à A. Linkenheld (MEL).
Vote la liste du bureau comprenant trois VP : Nicolas Postel VP CA et les deux VP CAC : Lionel Montagne (CR) et Dominique Derozier (CFVU).
Liste adoptée par 24 voix favorables, contre 9 Défavorables et 1 Abstention.
Même si pas nécessaire, JC Camart souhaite recueillir l’avis sur les autres chargés de mission.
C. Vuylsteker (Alternative CGT et FSU) : cette délibération non obligatoire. L’avis du CAC sera-t-il recueilli ou restons-nous dans la logique LRU du CA tout puissant. Les missions des VP ont pour partie relation aux CR et CFVU, pas anormal de recueillir l’avis.
Réponse : non, pas nécessaire.
le bureau est adopté par 22 voix pour, 9 non et 3 abstentions
JC. Camart lit un texte d’hommage à P. Rollet.
Désignation des représentants au Comité Stratégique U de Lille.
Le président : fait une proposition représentative aux résultats.
Collèges A et B : 3 CAPU, 2 ASUR et 1 CGT-FSU
Biatss : 1 CAPU et 1 U lille En marche
Etudiants : 1 UNEF et 1 Interasso
MCF : A Hyard (ASUR), L Roux (CAPU), M Ribaucour (Alternative)
PR : Isam Shahrour (ASUR), Clarisse Dhanens (CAPU), Isabelle Fournier (CAPU)
C. Boulinguez (CAPU) et E. Lhermitte (U lille en marche)
Etudiants A. Benichou (UNEF), V Holquin (Interasso).
La proposition reçoit les critiques d’ASUR et de la communauté de l’asso.
L. Rodriguez (ASUR) : pas de respect des résultats électoraux dans les représentants biatss.
E. Ghamlouch (Communauté de l’Asso) : Pas de respect de la parité dans les représentants étudiants.
M. Ekani (Elu étudiant Avenir) : la liste avenir est passée sur silence.
La désignation est adoptée par 22 voix pour, 7 contre et 5 abstention.
NDLR : une analyse des choix des listes montrerait que 7 sur les 10 représentants proposés sont issus de listes ayant opté pour JC Camart lors de l’élection à la présidence.
Prochaine réunion du COS le 9 juin.
titre documents joints
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fr Vie des conseils Conseil d’Administration Compte-rendus de nos élus ?